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dimanche 6 juillet 2014

L'année des caractères bien trempés !!!



Dans le générique, on voit la nana en maillot, pour Marc, et KLM qui dit : « Oui, elle a l’air gentille »… Humour…


En Haute-Saône chez François, 51 ans, céréalier qui élève aussi des vaches et des chevaux. Le fan de Johnny, rocker au cœur tendre que la vie n’a pas épargné.

Il a invité Maryline, auxiliaire de vie bretonne de 43 ans… Elle marche en se balançant à droite et à gauche, avec une démarche lourde, comme si elle portait des seaux de ciment de 25 kg chacun ! Punaise qu’elle fait vieille !!! Et Marie-Paule, marseillaise de 55 ans qui est coach en relooking et qui ferait bien de se regarder dans une glace pour se relooker elle-même !!! Elle est greffée à son chien, Dior, qui l’accompagne à la ferme.

Elle arrive la première chez François…

Marie-Paule, 1ère phrase à son chien… Dior parce qu’elle doit s’imaginer être dotée de classe et d’élégance… à moins que ça ne soit pour compenser ce qu’elle n’a pas et faire croire que si elle appelle son chien Dior, ça va faire classe comme si elle portait… avec prestance, des vêtements, des accessoires et des chaussures de Haute Couture. Or, son espèce de bestiole moche, qui ne ressemble à rien, et est aussi « space » qu’elle…

Dès qu’ils sortent de la voiture, en arrivant à la ferme : « Allez, attends, si tu pissais, non ? Comme ça c’est fait ? »

Lui, avec sa casquette vissée sur la tronche même dans la maison et le soir… et qui mâchouille… Eh oui, un coup de lune sur la tête, on ne sait jamais les effets dévastateurs que ça pourrait causer sur son neurone unique.

Au lieu de parler de « vase », il parle de « bocal »… Ouais…

Il arrive à l’étage avec le très beau bouquet de fleurs destiné à Marie-Paule, pour le mettre dans sa chambre et lui montrer où elle dormira. « Voilà, voilà »… Ah non, c’est même pas « Voilà, voilà » mais « Voilô, voilô »… Privilège d’être arrivée la première, elle choisit sa chambre… Et elle choisit………. en fonction du chien !!!!!!!!!!!! Pour qu’il soit tranquille…

François d’affaire à mettre le bouquet dans le VASE sur la table de nuit : « Très parfait ! Eh beh voilô ! ». Ah, ça c’est nouveau : « TRÈS parfait »… Très drôle !!! Vu que parfait « tout court », ce n’est pas plus que parfait et ça ne se suffit pas à lui-même alors si on rajoute « très », là c’est vraiment parfait-parfait !!!

Elle sait donner des ordres, la Madame : « Tu vas chercher la valise et je te donne ton cadeau »…  Je déteste cette formulation impérative qui ne veut pas se l’avouer… mais l’est quand-même !!! Grrr… Et il s’exécute…

Qu’est-ce qu’il a l’air con, ce chien ! Comme sa maitresse, d’ailleurs… Et on dit souvent qu’il y a ressemblance entre les chiens et les maitres, en fait…
Il n’arrête pas d’aboyer, ce crétin ! « Tais-toi, Youki ! », dit François… « C’est pas Youki ? » : elle rectifie « C’est Dior, tu penses à Christian Dior, voilà, c’est Dioré »… Beh oui, au cas où il aurait pensé à « Dior, tu penses à Gabrielle Chanel » ou « Dior, tu penses à Yves Saint Laurent », on ne sait jamais…

Et le cleps qui saute et monte de partout, sur le lit, etc.

Elle lui offre son cadeau : « Ça vient de la Bonne-Mère ». C’est dans un joli étui cadeau en tissu violet et dans un joli écrin de la même couleur : une petite médaille… Pour une nana qui fait la rockeuse et fan de Johnny, avec sa médaille, on l’imaginerait plutôt bigote et fan de Mireille Mathieu !!! Elle répète : « C’est la Bonne-Mère ». Elle pourrait dire que c’est aussi Notre-Dame de la Garde, que sa basilique surplombe Marseille et qu’on la voit de presque tout Marseille…

Elle : « T’est mieux sans ton truc »… Truc = casquette. Pour ce qui est de la chemise, elle lui sort un peu du pantalon, mais bon… « Tu sais que je suis coach en relooking »… Oui, eh bien elle va avoir du boulot !!! Lui : « Ah oui d’accord ! », il l’avait oublié… « Eh ben d’accord ! J’en ai b’soin ». Elle lui avait dit, mais il l’avait oublié. Avec toutes ces nanas, il n’a pas pu se souvenir de tout ! N’empêche, dommage qu’il soit moche, parce qu’il est grand et baraqué, à moins qu’elle ne soit toute petite…  Lui, depuis tout à l’heure, il n’arrête pas de parler avec l’accent de Marseille, et elle ne s’en rend même pas compte !!! « Voilô, voilô »… Et elle, elle ne voit pas que son soutif coque, on ne voit que ça à travers son pull ?! Quel bon goût !!!!!!!!!!!!!!!!

Il dit qu’il est impatient d’avoir des nouvelles de Maryline. Je ne comprends pas : pourquoi n’a-t-elle pas dit plus tôt qu’elle avait un empêchement et qu’elle arriverait plus tard à la Gare de Besançon ?! Il y a des trucs qui m’échappent !!!

Suite à un contre-temps professionnel, Maryline n’arrivera pas le jour-même, mais le lendemain à 13h30… « Ne m’oublie pas », lui dit-elle ! Lui, on dirait que c’est naturel, maintenant, de parler comme Johnny !!! « Beh voilô, on a des nouvelles, maintenant ! » ! « On a quand-même des nouvelles. Voilô, voilô » !!! Je vais le tttttttttttttttuuuuuuuuueeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrr ce mec !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Autant Mireille Mathieu, quand elle chante, elle perd son putainG d’accent d’AvignonG, autant, Marie-Paule, elle garde son foutu accenG marseillais… Même Céline Dion, Fabienne Thibeault, Garou, Diane Tell, etc., perdent leur accent canadien, pourtant à couper au couteau quand ils parlent !!!

Ils chantent le duo de Johnny et Sylvie : « Si tu n’es pas vraiment l’amour, tu y ressembles, etc… »

Ils mettent la musique de Johnny, elle dit ne pas savoir danser, et pourtant il lui apprend… sur Johnny… comme par hasard… à danser le rock… Il lui fait même un cours avec 1, 2, et expliquer où il faut qu’elle passe, etc.


Dans le Cher, chez Bertrand, céréalier de 33 ans qui vit toujours chez ses parents. Il n’a connu qu’une seule relation amoureuse. Passionné de voitures anciennes, il a toujours le mot pour rire. Il a invité Marisa, une Suissesse de 25 ans, employée dans une assurance maladie, et Pauline, travailleuse sociale de 25 ans, venue en voisine du Loiret. Elle n’est pas terrible, Pauline.

Arrivée la première, Pauline est de suite mise au boulot ! Quel accueil !!!  Mais c’est de l’humour.

Ils vont chercher Marisa à la Gare de Bourges, qui arrive de Lausanne après 7 heures de train. Il est tout petit,  Bertrand. Du coup, déjà qu’il fait jeune, avec sa taille, il fait encore plus jeune…
Gentleman, il propose de tirer la valise qui roule mal : « Y’a pas une roue qui tourne pas rond ? T’as pas des roues carrées sur cette truc ? »… Truc = valise.

Marisa lui demande dans quel département il vit. Il dit que c’est le Cher, le 18 : « Quand tu fais les pompiers, eh bien ça sonne chez moi ».

KLM : « Notre agriculteur osera-t-il passer en mode séduction ? »… Ça veut dire que non ?!

Marisa est contente de sa chambre, celle des parents de Bertrand, avec le grand lit.

En Suisse, quand on trinque on ne dit pas « Santé ! », on dit « Tchin »… Beh, en France on dit les deux, en fait !!!
Bertrand demande à Marisa si elle a de la famille en France… elle dit que non, et lui répond : « Enfin, moi c’est pareil, j’ai pas de la famille en Suisse »… Bien vu… J’aime bien son esprit vif et son humour particulier. Je pense que c’est un mec intelligent.

KLM dramatise toujours tout ! En parlant de son penchant pour Marisa, elle sous-entend qu’une nouvelle GGGGGRRRRRRAAAAAVVVVVIIIIIIISSSSSSSIIIIIIMMMMMEEEEEE risque d’entacher l’attirance que Bertrand éprouve pour elle. Et c’est quoi cette nouvelle ? Marisa a le SIDA ? Marisa est une ancienne prostituée ? Marisa lui a menti : ses yeux bleus ce sont des lentilles colorées ? Marisa a fait l’émission suite à un pari ? Non : plus grave encore : Marisa n’aime pas le fromage… Alors ça, c’est vraiment DRA-MA-TI-QUE !!!!!!!!! En fait c’est KLM qui est LA-MEN-TA-BLE !!!

Marisa, pour une Suissesse, n’aime pas le fromage…  Le comble ! Je rêve… Mais pas de quoi en faire un…….. fromage justement, comme le sous-entendait KLM !!! Elle dit être très pénible côté nourriture.
Et Bertrand lui fait une omelette… vu qu’elle ne veut pas de tourte au « cheuvre » ou « chieuvre », j’ai pas bien entendu… Est-ce que « cheuvre » ou « chieuvre » ça veut dire « chèvre » ?

Marisa se sent gênée de faire sa pénible dès son arrivée… En tout cas, elle se tient mal à table, avec ses coudes sur la table, la Suissesse ! Et l’autre ne fait pas mieux !

Il fait des spaghettis… sans gruyère pour Marisa… Quel boulet !

Ils ne sont pas embêtés par les voisins : pas d’église depuis un siècle, pas de boulangerie, pas de croissants le matin, pas de bistro, pas de lave-vaisselle… Je ne vois pas le rapport entre le lave-vaisselle et l’église, la boulangerie, etc. Car le lave-vaisselle n’a rien à voir avec la désertification des zones rurales, je suis sûre que Darty se ferait un plaisir de livrer là-bas aussi !!!

Pour la vaisselle, il dit que demain il fera jour… et les filles s’y mettent… ou font semblant de vouloir le faire. Du coup, elles disent qu’elles essuieront… Et il dit que ça sèchera tout seul… Mais une fait remarquer qu’il y aura des traces de gouttes…

La grande phrase philosophique de Bertrand : « Demain il fera jour »… Et tant mieux, parce que le jour où il ne fera plus jour, on pourra compter les heures qui nous restent à vivre…

Il propose aux filles un caramel « pour s’finir l’palais »… drôle d’expression, tiens… Ces caramels lui ont été offerts par une prétendante lors du speed-dating…


Marc, Lot et Garonne, 29 ans, céréalier et éleveur de vaches allaitantes. Le plus jeune et le chouchou de KLM à mon avis… Pas le mien… Malgré son jeune âge, il se sent prêt à fonder une famille avec une femme simple et douce. Il a choisi Aude, savoyarde de 26 ans travaillant dans l’agro-alimentaire,  et Audrey, 25 ans, secrétaire, de Lorraine, la préférée de Marc.

Elles sont bien mignonnes, les filles. Audrey est une emmerdeuse qui ne mange pas d’agneau, de lapin, de veau, car ce sont de petites bêtes et c’est psychologique… Marc propose de lui faire voir un veau, car ce n’est pas petit… Il mâchouille du chewing-gum de façon pas classe du tout, comme une vache, j’aime pas du tout… Elle ne mange pas non plus de foie gras, pour le goût.

Marc a remarqué le tatouage dans le haut du dos d’Audrey, qui n’arrête pas de remonter son pull. Il veut savoir ce que ça signifie. C’est un tatouage écrit en latin : « Dum spiro spero » : « Tant que je respire j’espère »… Marc pose des questions, pour savoir si elle en a d’autres. J’ai pas bien compris : celui-là et les 2 plumes… Quelles plumes ?! Ah, ok, autour de la phrase il doit y avoir 2 plumes.

C’est spaghetti dans toutes les maisons, chez tous les agriculteurs, décidément…

Marc veut que les filles lui fassent des compliments, alors il leur demande si elles ne sont pas déçues depuis le portrait. Apparemment, non, pas du tout.

Par contre, il mange vraiment comme un porc et il plonge tellement la tête dans son assiette, qu’on dirait qu’il va chercher les spaghettis avec la bouche directement dans le plat, sans se servir de la fourchette…

Audrey va chercher des gâteaux qu’elle a confectionnés, et distribue pour le dessert…

L’ambiance est à chier : je m’emmerde !!!


Émeline, éleveuse de lapins dans le Gers, fort tempérament, 32 ans, un élevage qu’elle a créé de toute pièce au sacrifice de sa vie sentimentale, mais elle veut que ça change.

Elle cherchait un homme viril et protecteur et a choisi Aurélien, 31 ans, qui travaille dans l’agro-alimentaire en Champagne-Ardennes… profitons de l’appellation avant que Flanby l’appelle Champagne-Ardennes-Grand-Nord-Est ou autre…  et Bruno, 33 ans, gérant d’un magasin d’articles de pêche en Bourgogne.

Émeline a 670 mères qui font 5000 lapins toutes les 6 semaines. Elle n’a pas de mâles car elle les insémine… QUELLE HORREUR !!!!! Que va devenir l’expression « baiser comme des lapins » si maintenant les lapines font des bébés toutes seules ?! Quel drôle de progrès…

Aurélien arrive après 6 heures de route. Il aura la chambre qu’il reste… Logique…

Bruno, avec l’arrivée d’Aurélien, est plus stressé, se renferme, alors qu’Aurélien est très à l’aise et plus serein. Aurélien a une tête de curé ou de séminariste…

Elle, c’est Mme Donc : « Donc la maison, t’as pigé : cuisine, salon-salle à manger. Ma chambre, donc la chambre à Bruno, donc la tienne »… Normalement, c’est pas vraiment dans cette configuration qu’on utilise le donc, qui est plutôt une conséquence, une suite logique, mais bon… ne chipotons pas…

Pour Bruno, la pression monte maintenant qu’ils sont 3 au lieu de 2, alors qu’elle était retombée en fin d’après-midi… Il dit que c’est un peu plus intense mais qu’il va s’y faire…
Alors je vais faire ma KLM : « S’y fera-t-il vraiment ? »…

KLM dit qu’Aurélien dégage beaucoup de sérénité, même si les circonstances ne jouent pas en sa faveur… Pourquoi ?! « Je me sens très à l’aise, voilà », dit-il avec sa voix de CURÉ, c’est bien ça !!!  En fait, il dit que Bruno a pris de l’avance pour faire connaissance avec Émeline mais qu’il se rattraperait plus tard…

Pft, où est le problème ?!

Le floc, c’est une liqueur à base d’Armagnac… Beurk !!! Maintenant, c’est Aurélien, qui parle avec Émeline… Bruno est totalement en retrait.

Émeline parle du fait que nous ne soyons pas tous égaux devant les sensations de faim… Pourquoi ce sujet qui tombe comme un cheveu sur la soupe ?! Elle dit que quand elle a faim elle n’a pas de patience et le répète toutes les 3 minutes. Avec Aurélien, ils sont dans le même état lorsqu’ils ont faim. Plus de force, tout mou, voilà comme ils sont… C’est passionnant… Enfin, ça créé des liens et des points communs…

Il dit que ça lui fait ça quand le matin il ne mange pas à se forcer… Ça veut dire quoi, ça ?!

Pour le dimanche, elle a organisé un repas et ils seront 20-25 jeunes agriculteurs, avec leurs conjoints pour ceux qui en ont… et ceux qui n’en ont pas pourront toujours alimenter les saisons futures de l’émission…

Bruno reste désespérément muet, quand Aurélien fait son paon et son one-man-show…

Allez, c’est l’heure de manger – il est plus de 21h30, il serait temps… - et elle a préparé une garbure, soupe gasconne à base de chou avec des manchons et du cou de canard, qu’ils dégustent… Light, la soupe !!! Les légumes sont « défaits » parce que la soupe cuit des heures et des heures… donc les légumes ont « fondu » ou se sont « délités », plutôt…

Émeline leur demande leurs premières impressions… sur la garbure, mais Aurélien pense que ce sont les premières impressions sur elle… En attendant, c’est encore le seul et le premier qui parle.

Apparemment, la garbure est succulente, et Émeline est contente d’elle car elle a le goût de garbure. Ça tombe très bien… Mais c’est vrai qu’elle qui connaît le goût que ça doit avoir est plus à même de dire si elle est conforme ou pas la garbure de référence… qu’elle est la seule à connaître… Bruno est très silencieux, mais il aime beaucoup aussi, dit à voix basse que c’est super bon.


Christophe-des-nanas-vulgaires, dans l’Allier, car il y en a 2 cette années, que KLM définit par « Christophe l’Auvergnat »… Du coup ça me fait penser à Georges Brassens et j’imagine un vieux à moustaches avec une canne… Je ne me souviens plus qui est l’autre… Enfin, lui a 38 ans, éleveur de vaches allaitantes. Il a été très affecté par la mort de son père il y a 7 ans, a repris l’exploitation en délaissant sa vie sentimentale, et il vit avec sa mère et sa sœur, très possessives et castratrices, à mon avis... Il n’a voulu rencontrer que 2 femmes : Eulalie, jeune maman de 30 ans, téléconseillère à Nantes - un enfant et de gros nibards - qui va arriver plus tard, dans 2 jours, et Christelle, secrétaire médicale de 31 ans de Toulouse et un enfant, qui est déjà là. Christelle doit avoir la tête lourde pour toujours mettre ses coudes et ses mains afin de la porter…

Christelle se dit jalouse… Qu’est-ce qu’elle se tient mal à table, c’est horrible !!! Les coudes sont bien « tanqués » sur la table…
Il dit qu’il n’a plus mangé en tête-à-tête depuis longtemps. Elle, elle est carrément écrasée sur ses coudes et ses avant-bras à l’horizontale sur la table, ce qui fait qu’elle a le visage à 5 cm de la table… Pft ! Quelle (mauvaise) tenue !!!

Elle aime la voix de Christophe, qu’elle considère comme étant apaisante, et elle pense qu’il l’endormirait facilement… Elle aime également son regard et son sourire… Il demande s’ils sont si ravageurs que ça, et il dit que c’est la première fois qu’on lui dit… Christelle n’est pas tranquille et lui fait remarque que « l’Autre »… et elle se ressaisit : « Eulalie », est là pour ça aussi, qu’elle va faire à Christophe les mêmes compliments qu’elle… Christelle est très réaliste quand elle lui dit que dimanche il va en dégager une, et même s’il dit ne pas être comme ça, c’est le concept de l’émission…
Christelle a raison de lui dire qu’elle ne veut pas savoir et qu’elle ne veut pas qu’il lui fasse penser que c’est elle qu’il va choisir si au bout du compte ça doit être l’autre... Elle, elle anticipe tout et fait les questions et les réponses.

Christelle est sympa car, sachant que sa concurrente aura manqué 2 jours, elle dit à Christophe que s’il veut passer la journée de samedi avec Eulalie, elle l’acceptera, même si ça l’énerve…

Il la fixe, elle lui demande pourquoi il la regarde comme ça… Beh, c’est normal, non… Ça sent l’attirance, le trouble et l’amour naissant…

KLM annonce qu’à leur retour, leur quiétude va être troublée par un imprévu, un événement inattendu, quelque peu contrariant… On l’a cambriolé ? Eulalie est arrivée ?! Mystère… Suspens…


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Alors…. What has happened ?! Il a oublié de prendre la clef quand ils sont partis et ils sont renfermés à l’extérieur ! Quelle tête de linotte !!! Il doit réveiller sa mère, qui dort à poings fermés et ne se réveille pas ! Christelle propose de dormir dans la voiture… Il dit qu’ils seront au chaud… Oui, s’ils dorment collés l’un contre l’autre…
Finalement, il frappe fort au volet, qui n’était pas totalement fermé, et il frappe à la fenêtre et crie. Quelqu’un dans la maison dit : « J’arrive ».

À entendre KLM, je pensais à quelque chose de pire !!!

Christelle va prendre la douche…  et elle dit qu’elle va aller dans son lit – à Christophe, puisqu’il lui a prêté sa chambre – mais sans lui. Il dit que c’est dommage, et elle qu’on ne peut pas tout avoir le premier soir, que ça ne se passe pas comme ça… Ce qui est normal !!! Lui faisait de l’humour… normal aussi… mais il saisissait la perche qu’on lui avait tendue. Il dit ne pas être comme ça non plus, et elle le sait.

Conclusion de Christophe sur sa soirée : bonne soirée, mais attend de voir quand Eulalie sera là, pendant les 6 jours, laquelle des deux correspondra le plus à sa recherche…


En Haute-Saône, chez François, il « réserve à Marie-Paule un régime de faveur aux accents francomtois », dit KLM. « Moi j’aime bien les surprises donQUE je te laisse faire »… Punaise d’accent qu’elle a !!! Il n’avait pas vraiment réfléchi à un programme, mais ils vont prendre la voiture et aller manger que’que part. Elle veut manger une spécialité régionale… Logique… et elle demande ce que c’est : la cancoillote, « du fromage liquide qui est chauffé et qu’on fait couler sur des pommes de terre, avec du jambon, de la saucisse, voilô », selon François. Elle : « Va pour la canqueillote ! » et elle éclate de rire. Ils vont dans un restaurant traditionnel. Ils sortent de la maison et Marie-Paule dit en chantant : « On part déguster la cacaillote ! ». Il la reprend : « La cancoillote »… Elle rerépète, mal : « La concoyote » et on est proche de la bonne prononciation… mais pour pas longtemps… Il le répète encore avec l’accent marseillais !!! Dans la voiture, comme d’hab’ : « Voilô, voilô »…

Ils sortent bras dessus, bras dessous… Bizarre, de but en blanc, c’est un peu rapide… Ils doivent tous les deux besoin de contact humain, style « Free Hugs »…

On dirait un sketch de Bigard avec la restauratrice qui demande s’ils viennent manger… Pft, et que viendraient-ils faire d’autre ? Un tennis ?! J’vous jure !!!

Marie-Paule, quand la restauratrice demande s’ils viennent manger, dit : « La cocoyolle »… La nana ne comprend pas et fait répéter : « La cocouyole »… De mieux en mieux… François s’amuse à lui faire répéter des conneries… La restauratrice explique qu’il y a la Cancoillote et le Mont d’Or chaud… Punaise que ça doit être bon, tout ça… La restauratrice demande à Marie-Paule si elle ne connait pas, et l’autre qui répond ce qui explique tout : « Je viens de Marseille »… avec l’accent qui va avec… En même temps, on peut être de Marseille et connaitre les spécialités d’autres régions… Et elle éclate de rire toute seule, comme si c’était drôle de venir de Marseille… Enfin, bref…
La serveuse-patronne est toute contente… et la Marie-Paule est toute fière de dire qu’elle est de Marseille… C’est fou cette fierté à être de cette ville pourrie… où je suis pourtant née…

On lui sert une sacrée assiette… avec pommes de terre poêlées, 2 tranches de jambon, salade verte, et sans doute la cancoillotte fondue qui nappe les pommes de terre et le jambon… Miam, miam… J’adore tout ce qui est fromage fondu… et généralement bien calorique aussi, meskina de moi… Et comme il y a les caméras, les portions sont sans doute XXL !

Marie-Paule, quand elle voit l’assiette et ce qu’il y a dedans, fait dans les lieux communs typiques du Sud… et ne finit pas ses phrases…  ce qui est nul : « Je passe un mois chez vous, je… »… deviens Bibendum, aurait-elle pu dire… La restauratrice dit qu’elle sera en pleine forme, mais ça serait plutôt « pleine de formes » !!!

Pour montrer aux Marseillais qu’il n’y a pas que la bouillabaisse - ou qu’elle est sortie de Marseille au moins une fois dans sa vie… - elle va photographier son assiette de « cocoyote ».... Là, je fais le canard, parce que je suis la spécialiste des photos d’assiettes !!!

Tout ça pour dire aux Marseillais qui parleront de la bouillabaisse : « Tu comprends rien ! La cocoyote ! » et François est mort de rire… Homme qui rit, à moitié dans ton lit ? Ah non, c’est pour les femmes… Mais ça pourrait être : « Homme qui rit, à moitié séduit »… Pourquoi pas ?!

Marie-Paule se renseigne sur les francomtoises : Ici, il n’y a pas beaucoup de femmes célibataires ? Si, « il y en a quand-même un peu… » dit François. Elle répète qu’elle est coach relooking et demande si elles coquettes, ce à quoi il répond que oui. En effet, elle pose ses jalons pour, éventuellement, exercer son métier là-bas ? Pourquoi pas… Je ne sais pas si ils ont coupé la séquence, mais d’un coup, comme un cheveu sur la soupe, elle dit : « Le court, ça peut être sexy. Mais le court, ça peut être aussi vulgaire ». Oui, ça c’est certain… surtout à un certain âge… François est impressionné : « Alors quand tu vois arriver une femme, tu arrives de suite à la jauger. C’est un sacré métier quand-même «  ! Quand on la voit, on se demande où elle a appris son métier… ou elle s’est vraiment improvisée coach en relooking… Ah non, ça y est, j’ai trouvé : elle est coach en relooking de cagoles !!!

Définitions de la cagole :
1.        Fille au comportement plutôt vulgaire et souvent vêtue ou maquillée de manière outrancière attirée par les vêtements aux couleurs criardes.

2.       « Nom féminin d’origine provençale. Désigne une fille de très petite vertu et de fort mauvaise apparence : ʺCelle-là, tu peux y aller, c’est une vraie cagoleʺ veut tout dire. A l’origine, on trouve le mot provençal cagoulo, cagoule, mais aussi long tablier. Les filles qui, au début du [XXe] siècle, travaillaient dans les usines d’empaquetage de dattes étaient tenues, pour des raisons pratiques, de porter ces ʺcagolesʺ. Et comme à Marseille, ʺtravailler aux dattesʺ est une terrible malédiction, on en conclut que les salaires et les conditions de travail sont ou étaient il n’y a pas si longtemps encore, assez atroces. Il est donc possible que pour arrondir leurs fins de mois, les filles des dattes, jadis, vendaient leurs charmes. »

KLM dit que tout se passe bien entre eux, mais que la nouvelle que Marie-Paule lui réserve pour le dessert risque de lui rester en travers de la gorge. En effet, elle veut dormir à l’hôtel car elle attend que Maryline soit là… pour garder une certaine distance avec François… Oui, bien sûr… Mon œil !!! C’est débile, je trouve… Pourtant ils se sont rapprochés… À mon avis, elle est coincée, trouillarde, et elle a peur de se retrouver seule avec François dans la maison, ça c’est plus sûr… Elle fait la nana moderne, libérée, alors qu’elle se sent comme une petite fille qui a peur de la présence masculine…

François lui dit qu’elle préfère que Maryline soit là, et la réponse n’est pas des plus claires, loin de là… « En plus par rapport à elle, je veux dire, voilà »… Oui, bien sûr, on a tout compris…

Marie-Paule dit qu’elle est très contente d’être là, demande à François sa première impression, et il a l’air un peu sonné par la nouvelle et on dirait qu’il atterrit : quoi ? comment ? où ?

D’un coup, au resto, coupure de courant, et réflexion débile de Marie-Paule, qui aime bien le mot et le répète donc pour n’importe quoi, comme les enfants : « Ça, c’est un coup de la cocoyotte »… Ils sont morts de rire tous les deux…

Elle monte chercher ses affaires. Un truc m’échappe : au resto, elle avait un sac en cuir avec des clous. Là, elle a un sac style cabas de supermarché blanc avec de gros pois vert anis… Très chic, pour une spécialiste en relooking…

Elle est dingue de son Dior : « Mon bébé d’amour, mon petit cœur, mon amour »… et François qui  dit, avec l’accent du Midi : « Le petit chien, le petit chien », car c’est Monsieur BIS, qui répète tout par deux… Il monte vers la chambre de Marie-Paule et dit au chien « Eh pépère, viens voir, viens, viens Youki »… et l’autre espèce de petit roquet de chien capricieux à sa mémère, se met à aboyer après lui comme un taré, à regarder François avec un air méchant, à monter sur le lit… Pft, quelle bestiole désagréable !!!

Commentaire à la con de KLM : « Le petit chien de Marie-Paule, d’ordinaire si calme, semble manifester quelques  signes de jalousie. A-t-il flairé un léger rapprochement entre sa maitresse et notre agriculteur ? »… Pft !

Et elle part à l’hôtel avec son cleps…

Ils s’embrassent pour se dire au revoir et bonne nuit, et François veut l’embrasser une nouvelle fois… ce qu’ils font…

François trouve Marie-Paule gentille et adorable, mais laissons faire, faut pas s’inquiéter… Et il conclut, avec l’accent de Marie-Paule : « Tranquille »… Avec l’accent à couper au couteau qu’il a, il peut refaire celui de Marseille…


Allez, c’est l’heure du dodo dans toutes les fermes, et on les fait tous voir en train de se souhaiter la « bonne nuit » dans toutes les fermes et d’aller au lit.
.

Bertrand fait 3 bises à Marisa et seulement 2 à Pauline… il s’adapte aux coutumes de leur région…

Christelle, elle regarde toujours de côté, c’est rigolo. Elle fait la bise à Christophe et le remercie encore pour le resto et pour les fleurs… Franchement, elles ne sont pas très sexy, les nanas !!! Je ne dis pas de se mettre des nuisettes en satin et dentelle transparentes et hyper décolletés, mais de là à se mettre des pantalons de jogging ou assimilé, et des vestes à capuche style racaille des cités, il y a des nuances…

Chez Marc, les filles sont toujours en tenue de ville, le « bonne nuit » est simple, sobre et chaleureux.

Chez Émeline,  idem, et recommandation de la chef : « Demain matin c’est 8 heures et quart pile »… Et si c’est 17, ça n’ira pas ?! Pft !!! C’est l’armée ou quoi ?!


Chez Marc, c’est là que le réveil a sonné le plus tôt, 7 heures, et les filles sont donc réveillées depuis cette heure-là… Il ne rigole pas, lui !!! Ils commencent la journée en rejoignant le père…

Marc élève des blondes d’Aquitaine, comme son grand-père, et il travaille à l’exploitation avec son père, Jean-Claude.

Marc demande aux filles de faire sortir les vaches et les veaux, elles s’en sortent bien d’ailleurs, sauf un dernier veau récalcitrant. Après, KLM dit que Marc va initier ses prétendantes au maniement de son « engin télescopique »… C’est « Le Manitou », je pense.
KLM sait bien que ça peut être très mal interprété, ce terme ?! Je suis sûre que oui, mais elle fait style « l’air de rien »…

Marc va leur montrer comment ça fonctionne, au moins à la fin de la semaine il reste au lit et les filles gèrent !!! Humour !

Audrey conduit le tracteur, et se débrouille très bien. L’ambiance est très conviviale et sympa. Génisse : vache qui n’a jamais reproduit. Marc dit toujours s’il te plait, il est agréable.


Émeline, éleveuse de lapins dans le Gers, les met au boulot avec rigueur et fermeté. Les petits lapins ont 21 jours et il faut sortir les « nids » des 528 cages… car ils n’en ont plus besoin.
Sortir les nids, c’est éjecter les petits lapins de 21 jours de corbeilles en plastique, trouées dessous, qui ressemblent à des panières à pain de cantine, sauf qu’elles sont percées de façon opposée : pas dessous, mais sur les côtés.

Avant de rentrer dans l’élevage, les hommes sont soumis à des règles d’hygiène très strictes, à savoir ne pas laisser en contact les vêtements de l’extérieur avec l’intérieur, mettre d’abord la combi et les chaussures après, de l’alcool sur les mains, pédiluve, la radio permet aux lapins de couvrir les bruits que peuvent faire Émeline, Bruno et Aurélien. Les lapins sont très fragiles, d’où ces règles très sévères. Elle dit que si ça se passe mal, elle remontera le son de la radio, car ils risquent d’avoir peur de les voir à 3 alors qu’ils ont l’habitude de la voir seule ! Oh punaise, c’est bien sensible, ces petites bestioles !!!

Son élevage est très moderne et automatisé. Même la nourriture des lapins est distribuée de façon automatique. Si un moteur tombe en panne, 66 femelles ne mangent plus, et ça, c’est un problème à résoudre de façon hyper prioritaire.

Elle explique comment sortir les nids… en faisant descendre « les pioupious »… sauf que c’est pour finir en sauce à la moutarde, les pioupious, les pauvres…

Je ne vois pas pourquoi il faut avoir fini à midi !!! Pft ! Quelle emmerdeuse !!!


Christophe en Auvergne, qui s’est levé avant tout le monde, regarde la vidéosurveillance avec ses bêtes car c’est la période de vêlage.

Tout ce monde dans la maison, quelle horreur !!! La mère, la sœur, lui, Christelle ! Pft ! Ça me saoulerait !

Et la maison, elle est moche : les meubles, la tapisserie, beurk !!! Le tableau en puzzle ou en canevas sur le canapé et les 2 ours en peluche de part et d’autre du cadre, c’est d’un goût……. de chiotte !

Christelle n’a pas super bien dormi… Mais ils ne disent pas à cause de quoi : Christophe et la mère disent que c’est à cause du chien. Quel fléau, ces chiens…

En fait elle dit avoir bien dormi et c’est pas vrai.

La mère dit que le dimanche la lune va tourner et que 3 jours avant et 3 jours après ça déclenche les naissances. C’est comme les femmes.

Christelle met un bleu de travail, en combi, ce qui n’est pas très seyant ni sexy !!! La mère dit que tant qu’on ne pèse pas 120 kg on n’est pas gros… Pft !!! Tout le monde l’aide à mettre sa combinaison pour aller bosser.

Christophe a 90 vaches charolaises… Waouw ! « V’là mes mémère ! Viens mes mémères, viens la ch’tite »… J’adore… Humour…

Visite du hangar de stabulation : « Ça c’est les p’tites, ça c’est tes futurs biftecks,

Christelle, de voir les veaux et les vaches, de futurs biftecks, dit qu’elle va arrêter de manger de la viande… Elle demande comment il peut les envoyer à l’abattoir, c’est trop mignon !!! C’est sûr… Quelle horreur…

Il leur envoie je ne sais quoi… avec une espèce de canon ou de douche… C’est « faire litière », si j’ai bien compris. Ah, ces filles de la ville, elles n’y comprennent rien !!!

Il y a un siège pour Christelle dans le tracteur, avec un coussin car sinon c’est trop dur, et il s’excuse d’avance, parce que comme il a l’habitude d’être seul, il met sa main où elle est… et risque de la toucher, du coup… S’en plaindra-t-elle, d’ailleurs ?! Il leur envoie des petits morceaux de paille, Christelle dit que c’est de la balnéothérapie, et lui dit qu’elles aiment bien parce que ça les frotte.

Il veut mettre de l’air frais, et du coup il doit un peu toucher Christelle, qui aime bien… Il dit que c’est bon à savoir… il lui demande si ça ne la dérange pas, et elle dit qu’ils ne sont pas là pour enfiler des perles… Eh bien au moins ça a le mérite d’être clair…

Elle bosse bien, elle est motivée, à l’aise et lui ça lui fait drôle d’avoir quelqu’un près de lui.

À la question : « Ça te plait ce que j’te fais voir ? », la réponse est bizarre : « Ça me dérange pas »…

Ils s’entendent bien, tous les deux… sans doute tant qu’ils sont deux…


Chez Bertrand dans le Cher : Pauline et Marisa vont participer à un rituel : allumer et remplir la chaudière à paille… 2 bottes durent presque la journée… et 1000 bottes de paille font l’hiver. 5 bottes par jour.

Il vit chez ses parents, Marynette et Daniel, partis vivre chez des amis, mais les parents sont quand-même venus voir les prétendantes. Les parents restent des parents : curieux !

Les 2 filles ont 25 ans : les questions rituelles des parents : l’âge et la situation !!! Grrrr….. Ça c’est le truc qui m’énerve, ce genre d’interrogatoire. Pauline dit être travailleur social, et la mère qui reformule : « Tu fais dans le social »… Beh, quelle question conne !!! Elle accompagne les gens dans leurs démarches, tout ça…

Le Bertrand qui s’y met « Voilà, voilà »…

L’activité céréalière est très calme, donc il a du temps pour visiter le domaine…

Le père fait des sculptures en ferraille qui ornent le jardin… C’est original et pas moche…

Marisa veut voir les voitures… mais elles n’en sont pas dingues. Sur une ancienne voiture des postes, il a écrit : « Petit Touriste Tranquille »… Avec, il a fait les Gorges du Verdon, et il dit qu’avec ces voitures, à 80 tu as l’impression de rouler à 100 !!! C’est sûr !!!


En Haute-Saône, Marie-Paule rejoint François après la nuit à l’hôtel. Elle voit François et fait l’enthousiaste : « Wouaw ! T’es habillé en……. » et comme d’hab’ elle ne finit pas sa phrase… EN QUOI ???????????????? Elle demande un bleu de travail… et dit qu’elle va s’habiller en fermière… Lui, il se la joue à la Yves Montand dans les films des livres de Pagnol : « Tu es prête, petite ? ». Moi je pensais plutôt une fermière habillée différemment… avec une jupe à froufrous, un haut blanc en dentelle, bref, à la Caroline Ingalls…

Marie-Paule précise : « Pétard, si tu veux aller faire pipi, avec une salopette c’est toute une aventure ! », sauf que ce n’est pas une salopette mais une combinaison… Oui, c’est sûr, mais fallait-il le préciser ?!

J’ai compris : son cabas blanc à poids vert anis, c’est la bouffe du chien !

Le temps de nourrir Dior, de lui faire des câlins, de ci, de là, François attend !!! Lui, il dit qu’il va falloir y aller, et elle, elle continue à faire ce qu’elle a à faire, dire à son Dior ce qu’elle a à lui dire, que Maman revient, comme si de rien n’était !!! Grrr…………. Et elle continue : « Maman va voir les petites vaches, et les petits veaux. Je t’aime »… Et François : « Petite, on y va ? », et elle descend enfin… Son mot à elle c’est : « Allez, on y va ! À la fermô »… Pft !!!

Le fumier, pour Marie-Paule : « C’est le caca des vaches »… Elle dit que c’est pas dégueulasse car elles mangent des trucs sains… Et le nôtre, de caca, il n’est pas sain ?! Je te jure !!! Sauf peut-être quand on mange des bonbons Haribo : fraises Tagada, Schtroumpfs, Cocobat, auquel cas on doit faire un caca sacrément chimique et d’une drôle de couleur vu les mélanges… et tant soit peu qu’on boive un Coca avec, c’est la totale, mais sinon, où est la différence entre le caca des vaches et le nôtre ?!

Elle craque pour les veaux… Elle les appelle « Mon cœur », et leur donne à boire le biberon : elle s’émerveille : « Ça a des bouches de bébé »…

Elle va maintenant essayer de coincer une vache qui s’est échappée… Elle a un peu la trouille qu’elle lui fonce dessus… donc François lui dit de l’empêcher de la bloquer pour l’empêcher de passer, et l’autre froussarde dégage du milieu…….. et la laisse passer ! Quelle courge !
La vache fait tourner François en bourrique, parce qu’elle n’obéit, et l’autre de dire : « Elle te prend pour un conggg ! »…

Et finalement la vache finit par rerentrer où elle était.

Elle trouve trop belles les vaches, en particulier celle avec une frange, et les veaux…


Chez Marc : un grand classique des séjours à la ferme : les courses au supermarché. Il veut se faire par une fille. Ils vont à Intermarché. Comme ce sont ses parents qui cuisinent d’habitude, il ne connait pas le magasin.

Quel bordel, ces courses !!! Lui voulait faire tous les rayons pour ne rien oublier et les nanas ont une autre technique : elles partent dans tous les sens.

Il ne veut pas y revenir, aux courses, et il a compté le nombre de repas qu’ils auront. Les filles parlent d’un gratin de ravioles… Ouais…


Chez Christophe l’Auvergnat – car il y en a un autre, il va falloir que je leur trouve un surnom - dans l’Allier : au centre de remise en forme et de bien-être à Néry-les-Bains.

Magie de la télé et de la présence des caméras : un accueil de VIP de la part du personnel.

Son rêve à lui : d’abord un appart’ et après une maison dans la Beauce.

Ils ont les mêmes aspirations. Elle, elle aimerait bien faire un gite.

Ils font un massage ensemble… L’un à côté de l’autre… Huuummm….

Les nanas sont très gentilles… Toujours le miracle de la camera !!!

Christophe : « Dommage qu’Eulalie n’a pas pu v’nir. On verra bien quand elle viendra demain comment qu’ça va s’passer »… Lui, pour faire péter l’ambiance, il est champion du monde !!!

Christelle a adoré ce cadeau et dit toujours merci. Ça c’est bien…

Il lui fait vraiment plaisir… C’est cool !


Dans le Gers, chez Émeline : après la sortie des nids : repas dans une maison voisine de la sienne, chez son père : après s’être occupé des lapins, ils vont en manger… C’est pas d’un goût exquis, quand-même…

Le lapin, c’est la viande préférée d’Émeline, ce qui n’a rien à voir avec le choix de son activité professionnelle, précise-t-elle… Bruno ne parle pas… et s’il continue, ça va l’énerver et chier…
Sans qu’il ne le sache, elle lui fixe un ultimatum, et la deadline, c’est le soir-même…


Chez François, alors que Maryline n’est toujours pas arrivée.

Ils vont tous chez Intermarché, les agriculteurs, ou quoi ?! Beh, ils vont où ils peuvent et dans l’enseigne qui se trouve à proximité, surtout…

Premier achat : du papier Q, et ensuite, la Marie-Paule se transforme en fée du logis et achète des tonnes de produits d’entretien, dont du savon de Marseille… sans doute par nostalgie… N’importe quoi !!! Et du nettoyant pour les toilettes, des éponges, de l’eau de javel, etc. Elle est barge cette femme !!!

Ils vont faire des fraises au sucre avec de l’alcool dessus… Beurk ! Elle lui demande de pousser le chariot car il est trop lourd. Quelle chochotte… Ils doivent acheter du sucre car il n’en a même pas chez lui… Incroyable !!!

François a l’air malin à chercher Marie-Paule de partout dans le magasin…

Elle est chiante et dirigiste !!! Oh punaise ! Il faut ranger comme-ci, comme-ça : « Voilô »… Y’avait longtemps… Les « trucs » les plus lourds au fond, le reste dessus. Oui, c’est logique, mais on dirait une maman qui parle à son gamin…


Chez Bertrand : les courses génèrent des éclats de rire…

Ils vont faire un tour en vieille 2 CV. Je ne sais pas ce qu’elle a sur le toit, ça fait bizarre ! Mais c’est rigolo. Je crois qu’il y a un arrosoir, des bouteilles, etc. Et la deuch’ tombe en panne… Si ça se trouve il n’y a plus d’essence… Je n’aime pas ces voitures…

En fait, ce sont de bons potes qui rigolent bien tous ensemble…

Ils n’ont pas fait de planning pour la vaisselle, suggère Bertrand…

Ils prennent la tisane, comme des papys et mamies, et il y en a une : « Nuit tranquille ». Lui : « Et ils ne font pas nuit torride ? » J’adore cet humour. Vraiment.


Dans le Lot et Garonne, avec Aude et Audrey.
Il se met en aparté avec Audrey. Elle est contente, ça se passe bien… Se livre… Là, elle se retient. Elle est prête à beaucoup de choses par amour, mais là, avec Aude, pas facile…

Marc laisse planer le mystère…


Christelle a offert une jolie composition de plantes à la mère de Christophe… Elle est touchée… Christelle est ko, elle ne se sent pas d’aller voir la vache qui a mis bas.

Il y a 2 vaches qui ont mis bas en même temps, et il ne sait pas à qui sont les veaux qui sont nés… C’est rigolo, ça…

Nouveau dîner en tête-à-tête pour le soir. Eh bien, il y prend goût et la chouchoute ! La mère et Christelle sont complices. Et la sœur de Christophe l’aime bien aussi.

KLM ouvre le débat : « Mais demain l’arrivée d’Eulalie risque de faire changer la donne »… Quel oiseau de mauvaise augure, cette nana !!! À voir… Pft !


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Bon, je m’ennuie un peu… Pas vous ?


Chez François : Il accueille Maryline, auxiliaire de vie bretonne… Je ne me souvenais plus de sa tête, mais elle ne me plait pas du tout du tout !!! Elle fait triste à mourir, cette nana… Elle ne sourit pas, elle est vraiment sinistre… En plus, ses cheveux m’ont toujours choquée. À la gare de je ne sais où… Le bouquet est un peu mort : « Voilô, voilô »… Punaise !!!

Marie-Paule : « Il est heureux, il a ses 2 femmes ». La Marseillaise type, bien lourdingue, avec un humour de Marseillaise-poissonnière…

Pour la chambre, elles s’organisent en fonction du chien. Putain, ce chien, tout tourne autour de lui ! Quel boulet !

Maryline, avec sa frange raide et ses autres cheveux tout frisés, ça fait drôle. Elle fait à la mode des années 85, avec sa coiffure à la Sloane de Peter et Sloane !!!

Marie-Paule et François, ils font très « petit couple », et Maryline regarde, muette et en faisant la gueule… Elle a une drôle de coiffure, quand-même… Je ne vois que ça et sa tronche à la Roger Gicquel qui va annoncer la 3e Guerre Mondiale, un crash d’avion ou la fin du monde…

Marie-Paule, elle était déjà allée dans des villages où il y a des lampadaires… Drôle de remarque… En fait, si j’ai bien compris, un village avec des lampadaires, c’est un village vivant… Un village sans lampadaire, c’est la Plouquie profonde, le trou du cul du monde. Elle dit que si elle ne trouve personne à qui parler, elle va s’emmerder… Maryline dit : « Les vaches »… Beh, elle parle bien à Dior, c’est vrai, après tout, pourquoi pas ?!


Chez Bertrand : Balade avec ses prétendantes, pour un apéritif sur l’herbe… devant le coucher de soleil. Marisa, dans son appart’, est à l’Est, et l’autre n’a pas de soleil apparemment.

C’est joli, romantique et bucolique… La lumière est superbe !

Il dit qu’il y va calmos-calmos… mais il faudrait qu’il s’affole un peu quand-même…


Maintenant, après Audrey et Marc, c’est Aude et Marc.

Aude dit qu’elle n’est pas une fille de la ville, et ils escaladent un drôle de truc. Il fait l’état des lieux de son patrimoine. Aude a beaucoup souffert et souhaite que ça ne se reproduise pas, quand il lui demande sa vision de la vie à deux. Elle a besoin de quelqu’un de gentil, de bras, car elle a beaucoup donné et là elle veut qu’on s’occupe d’elle. Elle a un peu peur, maintenant.

Lui, il a remarqué qu’il avait 2 filles sensibles, et il ne veut pas se tromper. En même temps, qui veut se tromper ?!


Chez Émeline, repas en tête à tête : ce soir c’est avec Bruno, pendant qu’Aurélien, champenois de 31 ans, va manger avec le père d’Émeline.

Bruno est apparu très en retrait, et là, elle souhaite que le Bourguignon se ressaisisse. Elle lui demande, dans la voiture, si c’est Aurélien ou les caméras qui le bloquent. Il dit qu’avec Aurélien il ne peut pas en placer une.

Elle est cash et lui dit que ce soir il joue sa carte.

Elle lui demande s’il ne la trouve pas trop autoritaire, et il dit que c’est une nana comme ça qu’il lui faut. Émeline le trouve bloqué, malheureux, et lui-même ne comprend pas pourquoi il est comme ça. Il se sent à l’écart, se sent mal. Bruno dit que s’ils étaient ensemble au téléphone, dans quelques jours, elle ne le reconnaitrait pas.


Christophe avec Christelle, encore. Il a mis le polo de l’équipe de foot que Christelle lui avait offert lors du speed-dating : de l’équipe de Clermont-Ferrand.

Christelle angoisse en pensant à l’arrivée d’Eulalie, elle lui demande comment il va se comporter. Il dit qu’il ne va pas changer d’avis comme de chemise. Elle lui demande ce qu’il voudrait avec elle, et il répond : « Que ça marche ». Beh oui… Normal ! Elle veut savoir ce qu’il espère, et comme tous les hommes, quand on leur pose des questions, on les emmerde…

Elle veut savoir ce qu’il va se passer, s’il y aura un rapprochement tactile, lui dit que s’il veut qu’elle se rapproche, et lui il dit que si elle dit oui il ne dira pas non… Elle est rassurée, elle dit qu’elle sait montrer s’il le faut. Elle ne le regarde pas en face, jamais… Je déteste les gens comme ça… Elle remonte ses cheveux car elle a chaud… Il demande si c’est lui ou le radiateur qui lui donnent chaud, et elle répond que c’est tout. Bon, maintenant, elle a envie de rentrer et de partager son lit…

C’est sûr qu’il faut qu’elle mette le paquet avant qu’Eulalie n’arrive…


François avec un petit plat concocté par Marie-Paule et Maryline, mais surtout par Marie-Paule.  En fait, tu parles d’un « petit plat », c’est juste du steak haché, je pense. Marie-Paule cuisine je ne sais quoi : des haricots verts. Lui : « À la vôtre ». « Voilô, voilô ; santé, santé »… Quel boulet, quel boulet, ce François, François !!! Il est obligé de tout répéter par deux, par deux ?!!!!!!!!!!!

Marie-Paule a fait un stage de nutrition dans le cadre de sa formation pour faire du relooking.

Maryline, elle a vraiment une sale gueule, je la trouve HOR-RI-BLE !!! En plus, elle ne dit rien, et je n’aime pas ces gens qui ont l’air d’être spectateurs, de juger et de casser, mais ne s’avancent et ne se prononcent jamais… On dirait un serpent, cette femme !

Maryline à Marie-Paule : « C’est bien, tu as bien fait à manger, tu peux revenir quand tu veux ». Elle a un air triste à mourir, cette Maryline, c’est l’horreur. Elle parle peu, on dirait une morte vivante, mais quand elle parle, c’est pour balancer des vacheries… des scuds !!!

Il pense qu’il va avoir plus de vues sur Maryline, « Voilô »…. Il va essayer de faire sans trop faire de dégâts, « Voilô »…

En tout cas, moi je la déteste !!!

Il a sélectionné 2 boulets : Marie-Paule et Maryline. Sauf que, boulet pour boulet, au moins Marie-Paule met de l’ambiance, de l’animation, elle est dynamique, elle bouge : elle est vivante.


Dans le Gers, au resto, au dessert, Émeline dit à Bruno que son enthousiasme pour lui est retombé : qu’elle se connait par cœur, qu’elle est comme un soufflé, que ça monte, et que quand ça descend, ça ne remonte pas. Donc elle est déçue, et là, elle lui dit que ce n’est pas qu’elle ne l’attire plus, mais pas loin… Du coup, il regarde sur le côté, à gauche, à droite, peut-être pour cacher sa déception parce qu’il ne peut plus la regarder en face, et il est super déçu… Il dit qu’il n’a envie que ça finisse au plus vite et tchao. Il veut se retirer.
En même temps, avec ce qu’elle lui a balancé dans la tronche, c’est sûr que le message est clair et qu’il vaut mieux maintenant la mort que l’agonie. En effet, vu comme elle s’est décrite, il n’y a apparemment plus rien à espérer, puisque son enthousiasme a définitivement disparu.

Elle voit qu’elle n’a pas de feeling, maintenant, et que ça ne reviendra pas.

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